expecting to fly.

Messages : 7 Date d'inscription : 17/09/2012 Crédits : n-dia.

© tumblr.

NOM ▹ Dirkse, purement néerlandais. Bien qu'elle tiendrait de son père quelques vielles origines anglaises – qui se seraient égarées avec le temps, tout comme leurs consonances. PRÉNOM(S) ▹ Elisabeth, elle a hérité du prénom de son arrière-grand-mère, tout simplement. Mais Ben suffira, un surnom qui lui colle à la peau depuis la maternelle. Puisque lorsqu'elle était enfant, elle n'arrivait jamais à écrire correctement Elisabeth, trop long, trop fastidieux, alors elle optait plutôt pour les trois lettres de son ours en peluche. ÂGE ▹ Vingt-trois ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE ▹ Un douze juillet, ici-même, à Amsterdam. NATIONALITÉ ▹ Néerlandaise. PROFESSION EXERCÉE ▹ Elle bosse dans une petite animalerie, qui fait également office de refuge. Ben s'occupe principalement des animaux: autant sur leur nutrition que leur bien-être, et prend en charge les différentes bêtes abandonnées. ÉTAT CIVIL ▹ Célibataire. SIGNE ASTROLOGIQUE ▹ Cancer, l'eau et la lune, comme dirait l'autre.

▬ live those days tonight

▹ Eau plate ou eau gazeuse ? Gazeuse, Ben répète depuis toute petite que l’eau plate a un sale gout ; peut-être faudrait-elle qu’elle goûte une eau qui ne sort pas du robinet.
▹ Stroopwafels ou speculoos ? : Elle trempe toujours un spéculoos dans son café, Ben raffole de la cannelle. Les Stroopwafels ont une matière trop bizarre – qu'elle dit.
▹ Croissant ou pain au chocolat ? : Bien qu'elle croit fermement aux vertus sacrées du chocolat et l'importance d'en abuser quotidiennement, un bon croissant au beurre fera son bonheur.
▹ Soleil ou pluie ? En vérité, elle aime l’alliance des deux, vous savez, ces averses qui passent et se mêlent au soleil: le ciel a toujours cette couleur si pure que les anges pourraient daigner le peindre, et parfois, lorsqu’un arc-en ciel apparaît au milieu de l’humidité, Ben ne peut s’empêcher de se poser sur le balcon et l’observer jusqu’à ce que la magie disparaisse: comme les enfants, elle n’aime la pluie et le soleil que lorsqu’ils s’accouplent pour donner naissance à l’arc-en-ciel des leprechauns. De toute manière, mis à part ça, il fait toujours trop chaud ou trop moche pour Ben – une adepte du terme « temps de merde ».
▹ Saint-Nicolas ou Saint-Sylvestre ? : La Saint-Sylvestre, elle garde toujours de bons souvenirs des différentes célébrations de la nouvelle année.
▹ Ordinateur portable, téléphone ou télévision ? Si vous lui demandez, elle vous dira téléphone. Mais la télévision régit complètement sa vie: elle se réveille avec, elle mange avec, elle s’endort devant. Et rejoint sa mère et sa sœur tous les mercredis soirs pour regarder Esprit Criminel sur le canapé de famille, voire d’autres jours de la semaine si l’une d’entre-elles a loué ou acheté un dvd en particulier.
▹ Un guilty pleasure ? : Le coulis de fruits rouges: si vous mangez chez Ben, à coup sûr il faudra encore se taper ce fichu coulis sur le dessert ; elle en met partout, sur chaque glace, sur chaque gâteaux, aucun n'y réchappe.
▹ Définition de la bonne journée : Se lever tard un dimanche matin, avec des chaussons odieux et le tee-shirt assorti ; et forcément Ziz (son chien) traînant derrière elle, sa peluche snoopy dans la gueule. Puis se poser quelque part dans le salon, boire un énorme chocolat chaud avec un peu de crème, devant l’œil brillant de Ziz qui ne cesse de réclamer un pain au lait, et la rubrique actualité à la télé. Il ne lui reste plus qu'à patiemment attendre l’arrivée imminente (et soi-disant improvisée) de sa mère pour lui dire « t’es toujours pas habillée ? » et la journée s'illumine enfin.
▹ Ce qui vous fait craquer chez autrui : La discrétion. Elisabeth aime les gens lorsqu’ils ne hurlent pas dans un couloir à minuit, lorsqu’ils ne se font pas remarquer lors d’une soirée, lorsqu’ils ne s’affichent pas ouvertement avec telle ou telle bimbo, voiture de luxe, costume à prix affolant ; quelqu’un qui s’amuse juste pour s’amuser et non plaire, subjuguer, ou histoire d'attirer tous les regards pour nourrir on ne sait quel énième manque de confiance en soi, quelqu’un qui passe calmement son chemin au lieu de rouler des yeux et dévoiler un large sourire faussement immaculé. Ben préférera un homme qui l'emmènera au petit café du coin plutôt que dans un restaurant si chic qu'il fout mal à l'aise. Gros frimeurs, grands ténébreux charismatiques, derniers vainqueurs du marathon, grandes gueules, rebelles en carton ou véritables anarchistes dans l'âme, et autres types trop classes pour être authentiques: à la trappe.

▹ Couleur préférée : Le vert.
▹ Chanson préférée : Little Demon de Screamin' Jay Hawkins, le rythme ferait danser un homme dans le coma, puis Ben a toujours essayé de chanter convenablement les paroles, en vain.
▹ Lieu préféré d'Amsterdam : Son quartier, tout bêtement. Oude Stad, c'est vivant. Il suffit simplement d'emprunter la bonne ruelle pour côtoyer un calme semblable à certains coins de Vondelpark ou tourner à gauche afin de se laisser prendre par l'agitation d'une place touristique.
▹ Sport préféré : Le ping-pong. Sans déconner: elle est redoutable au tennis de table, une véritable guerrière lorsqu’elle a une raquette à la main. Une fois, elle a smashé si fort qu’elle a explosé l’œil d’un copain – et le pire, elle a compté ses points dare-dare avant de réaliser que l’autre finirait surement avec un œil au beurre noir.
▹ Sous-vêtement préféré : Ben n'est pas une grande amatrice de lingerie, elle se contente de simple, mais se laisse tout de même séduire par un beau soutien-gorge en dentelle.
▹ Dessin animé préféré : « Allô? » « Allô? C'est la Noiraude, je voudrais parler au vétérinaire. » « Ne quittez pas, je vous le passe. » « Allô? » « Bonjour docteur, la Noiraude à l’appareil. » « Bonjour la Noiraude, qu’est-ce qui ne va pas encore? » Vache toute noire, 25 ans de psychanalyse via gros téléphone rudimentaire, ça vous dit peut-être quelque chose: la fameuse Noiraude qui avait toujours un pet de travers, Ben, gamine, suivait sans arrêt ses états d'âme.
▹ Teletubbies préféré : Laa-Laa. Parce que c'est une fille. Parce que ses antennes sont trop chouettes. Parce que Ben a toujours voulu lui chiper son ballon orange – elle s'en sert comme une manche en plus, Laa-Laa.
▹ Juron préféré : « con », après un récent voyage dans le sud de la France avec sa sœur, elle a pris cette horrible manie, propre aux gens de là-bas, de placer « con » à tout bout de champ: « oh con » « putain con », et on en passe et des meilleurs.
▹ Alcool préféré : La vodka, parce qu’elle n’a ni couleur, ni odeur, ni goût: la maîtresse des cocktails et Ben raffole des cocktails en tout genre, particulièrement lorsqu’ils sont très sucrés et fruités. Si possible accompagnés d'une paille, bien entendu. Mais elle peut se contenter d’un simple fond de vodka servi avec trois glaçons.
▹ Fringue préférée : Sa petite robe noire, très simple: resserrée sous la poitrine, elle tombe droite jusqu'aux genoux et épouse parfaitement sa silhouette. Une paire d'escarpins assortie et le tour est joué.

▬ riders on the storm

▹ Avatar : felicity jones, si je peux la réserver d'ailleurs? expecting to fly. 750478455

▹ Pseudo/prénom : soft parade, manon.
▹ Années au compteur : dix-neuf ans (depuis peu).
▹ Quel genre d'humain es-tu ? : le genre qui aime les épinards – et oui, c'est possible.
▹ Où as-tu connu le forum ? : par oaristys.
▹ Petit (ou long) commentaire : depuis le temps que je rêve d'un forum qui allie parfaitement le charme du contexte à une ambiance toute en douceur, agréable (et accessoirement un superbe design), je ne pouvais qu'être conquise. magnifique travail. expecting to fly. 456023687

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Elisabeth secoue la tête, ses petites anglaises se balancent avec elle tandis qu’Heleen lève haut ses bras, comme si elle souhaitait caresser les lumières colorées et, peut-être même, poser ses deux mains manucurées sur le plafond. Heleen tape le sol de ses talons aiguilles, Heleen sourit au jeune-homme qui ne cesse de la détailler depuis le début de la soirée, Heleen boit cul sec la vodka de Ben, Heleen donne un coup d’épaule à sa voisine, puis soulève ses jambes avant d'avachir son dos. Heleen est aussi ivre qu’un personnage de roman irlandais, mais Heleen rit si fort qu’elle pourrait réveiller les morts – et les anges. Ben pince ses lèvres rosées, observe la scène de son sourcil en l’air, sourit et répond « ça va » à Marie ; Marie demeure perplexe, Ben n’a pas le cœur à descendre la bouteille à quinze euros le centilitre, ni danser, ni même décoller une gifle monumentale à Heleen de toute évidence ravie de faire chier. « Oublie, Ben. » Marie s’approche un peu plus de son oreille. « Rien ne vaut la peine que tu te mettes dans un état pareil. Et tu le sais. » Elle embrasse la joue de sa sœur et étouffe un rire. Coup d’œil vers Heleen qui migre vers la piste de danse. « Salope. » « Monsieur-tout-sourire arrive. » « Pas lui. » Tamara revient des toilettes, d'un geste leste, elle balance ses boucles couleur soleil sur ses épaules et relève son menton pour balayer la salle du bout des cils: Tamara serait presque élégante, si seulement personne ne savait qu'elle n'est plus en état de prendre la peine de se laver les mains. « Tu le crois ça qu'un petit con a voulu me piquer la place aux chiottes? Plus aucun respect, j'vous jure. » Ben tapote le siège à sa gauche. « C'est fini l'époque des Dames, place à l'égocentrisme du sexe et des cabinets à tout prix. » Elle ne comprend pas elle-même ce qu'elle raconte, la blonde éclate d'un rire cristallin, s'installe près d'une Elisabeth déconcertée. « Mais qu'est-ce qu'il branle le plastifié là-bas, putain? » Toutes les nuques se tournent, tous les yeux font des loopings. « Le gros dégueulasse. » « J'hallucine. » « Il a trop bu ou il est juste débile? » Le type s'essuie la bouche: il vient probablement de vomir dans le coin du mur, juste derrière sa banquette. Le vigile le zieute de travers. « Les deux certainement. » « Me font chier ces gars-là. » Rires. « D'où le parfait balai dans le cul de ton fiancé. » « Moi je l'aime son balai. » Ben sert trois verres. « ... il est temps de boire. » « Je confirme. » Tandis que les trois terminent cul sec leurs vodkas, Heleen ne cesse de se tortiller, sa robe hors de prix valse en rythme et envoute n'importe quel salopard qui se respecte: un phénomène fascinant se produit alors en boucle, un peu comme celui de l'insecte inexorablement attiré vers une source de lumière et qui, malgré sa tronche sympathique, grillera sur un lampadaire dégueulasse. Elle est belle Heleen, elle semble dispo, sauf qu'en couple depuis bientôt deux ans et aussi fidèle que la Vierge Marie, il n'y a que de grandes claques dans la gueule et autres râteaux mémorables qui attendent le moindre mec qui souhaite s'approcher de trop près. Ben donne un petit coup d'épaule à Marie: « Elle va glisser. » « Tu parles, elle a de l'expérience dans le saint boulot de la connasse bourrée celle-là. » « Ne sous-estime pas l’autisme de cette nana, il y a 99% de chance qu’elle se pète la gueule. » « Je crois en la probabilité divine: 50 billets qu’elle glisse. » « 60 que Tout-Sourire l’aide à se relever. » « Trop facile. » « Il devient quoi celui-là, d’ailleurs? » « Il se dirigeait pas vers nous ce con? » Marie vérifie les alentours dare-dare. « Mais si. Ta gueule de six pieds de long a dû le faire fuir. » « Dieu sépara la lumière d'avec les ténèbres: tu te souviens? J’ai fait pareil avec nous et tout-sourire. » « Ce narcissisme exacerbée ma parole. » « Je préfère toujours le narcissisme à l’égo nucléaire de l’autre qui se tortille sur la barre. » « De toute manière, la barre transversale c’est l’all-é-go-rie du sexe masculin. » Qu'est-ce que c'est que ce binz... « Les femmes se frottent volontairement dessus, sans se soucier du caractère putain, les hommes jubilent, sans se soucier de leurs queues, plus personne se soucie de rien, mis à part du cul de la betty décolorée, de la fée clochette avec les obus, et de l’enfoiré contre le mur là-bas, qui sait parfait-ement ce qui est en train d'se trafiquer, avec ses petits yeux pervers qui disent: les connes, elles comprennent même pas qu’elles prônent la mi-sog-ynie. La barre transversale nous baise les filles, c’est odieux. » Marie et Elisabeth Dirkse buggent.

Elle fouille dans son sac: pose son portable sur la table, la paperasse en vrac le rejoint (facturettes, bons de réduction, et autres conneries dans ce genre-là), portefeuille, clé de voiture, de l’appartement, la photo de sa mère, de son père, de sa sœur, de son chien, paquet de gauloises blondes, aucun briquet ne suit (elle le paume toujours), la boite d'allumettes de secours par contre débarque juste après, un vieux rouge à lèvre, un tampax, un stylo à bille mort, une étiquette de jean, et la carte de visite usée de son ancien docteur décédé depuis bientôt six mois, elle retourne enfin sa besace en cuir, quelques pièces et bouts de papier dégringolent, plus rien, ce n’est pas là. Merde. Ben fait claquer ses talons sur le parquet, accumule les allers-retours, fouille dans un tiroir puis dans l’autre, tandis que le husky l’observe du canapé – où il ne devrait pas se trouver, mais elle est beaucoup trop préoccupée pour le virer. Elle balance tout en l'air, des cartes postales jusqu'aux post-it sur le réfrigérateur, répète « non non non » en panique, court, revient, repart, pivote vers la gauche, vers la droite: Elisabeth est partout et nulle part à la fois. Ziz aboie. Elle sursaute. On tape à la porte ; Ben se décompose. Coup d'oeil vers le miroir. Resserrer le chignon. Remettre en place le décolleté. Sourire. Avoir l'air zen.
Et deux minutes plus tard.
« Mais je les emmerde les tibétains. Ma place de concert, elle est où? » Elle pince les lèvres. « Ici. » Il est sur le point d'imploser. « Elle est dans l'appartement, c'est sûr. » « Où? » « Je viens de le dire: dans l'appartement. » « Tu te fous de ma gueule là. » Silence. « On peut pas perdre une place à 200 euros. » « 170, en fait. » Il voit rouge. « Rassure-moi, tu l'aurais pas jeté pour te venger? » « Comme si j'avais que ça à foutre. » « Justement. » Elle soupire et se pose sur la chaise à sa droite. « J'en sais rien. » Il écarquille les yeux. « J'hallucine. » « Navrée. » « La chambre, t'as regardé? Le dernier tiroir de la commode. » « Qu'est-ce que ta place foutrait dans mes fringues? » « C'était mon tiroir au cas où t'aurais oublié. » « Le fameux tiroir. » « Sois pas chiante Ben. Va voir dans le tiroir. » Elle rechigne: elle a jamais regardé dans ce putain de tiroir vide. Si la place s'y trouve. Mais si la place s'y trouve. Oh putain. « Ben, s'il te plaît. » Elle passe sa langue sur ses petites dents, dévisage Jools trois secondes – pas une de plus –, et s'exécute. Il ne partira jamais sinon: aussi têtu qu'une mule ce con. Ben traverse le couloir, dans le salon, Jools tape du pieds, hausse les sourcils et étouffe un rire devant le chien avant d'ôter sa veste et la balancer en vrac sur la table: « Ça va mon vieux? » Ziz se traîne lentement, avec toute l'aisance naturelle d'un phoque rampant sur la plage une nuit d'été – bref, une grosse carpette. « Merde. » Ben se pose sur le bout de son matelas. Les images parlent d'elles-mêmes.

Dernière édition par Elisabeth Dirkse le Lun 24 Sep - 21:06, édité 16 fois

Felicity, will you marry me ?
bienvenue par ici et bonne chance pour ta fiche

Elisabeth Dirkse a écrit:: ▹ Juron préféré : « con », après un récent voyage dans le sud de la France avec sa sœur, elle a pris cette horrible manie, propre aux gens de là-bas, de placer « con » à tout bout de champ: « oh con » « putain con », et on en passe et des meilleurs.

AH CA. (Je dis rien parce que ça peut m'arriver aussi, à force de l'entendre.) expecting to fly. 309181304

Bref, bienvenue parmi nous, j'aime déjà beaucoup ton début de fiche et je suis curieuse d'en apprendre plus sur Elisabeth/Ben ! I love you

Bienvenue par ici ! Et qu'on se le dise, je suis fan du nom du chien. expecting to fly. 4064327615

Et puis, SOJA. expecting to fly. 2874821285

Felicity Bienvenue

Elisabeth, que j'aime ce prénom expecting to fly. 4244696355

Bienvenue sur le forum cat

Felicity Et these boots are made for walkin' Bienvenue!

Invité

Messages : 7 Date d'inscription : 17/09/2012 Crédits : n-dia.

Merci beaucoup, à tous. Je suis contente de voir que Felicity vous plaise autant – faut dire, elle a une de ces bouilles.

Beatrice, une compatriote. Je ne peux qu'approuver, je suis dans le sud, c'est un virus cette manie-là, puis ça te lâche plus.
Alizé, juste car:

Felicity ! Tellement belle. expecting to fly. 2970661624

Bienvenue parmi nous.

Messages : 7 Date d'inscription : 17/09/2012 Crédits : n-dia.

Merci.

Juste pour prévenir, vu que ma réservation se finit demain: il me manque pas grand chose, je termine au plus tard demain soir. j'ai été pas mal occupée durant la semaine, désolée pour tout ce temps.

Aucun problème, délai accordé. I love you

Invité

Elisabeth Dirkse a écrit:: « De toute manière, la barre transversale c’est l’all-é-go-rie du sexe masculin. » Qu'est-ce que c'est que ce binz... « Les femmes se frottent volontairement dessus, sans se soucier du caractère putain, les hommes jubilent, sans se soucier de leurs queues, plus personne se soucie de rien, mis à part du cul de la betty décolorée, de la fée clochette avec les obus, et de l’enfoiré contre le mur là-bas, qui sait parfait-ement ce qui est en train d'se trafiquer, avec ses petits yeux pervers qui disent: les connes, elles comprennent même pas qu’elles prônent la mi-sog-ynie. La barre transversale nous baise les filles, c’est odieux. » Marie et Elisabeth Dirkse buggent.

Je suis achevée. expecting to fly. 163516685

Messages : 7 Date d'inscription : 17/09/2012 Crédits : n-dia.

Merci Sika.

Alizé, et boum: je glousse. t'es trop chou.

J'ai tout simplement adoré lire ta fiche. expecting to fly. 4064327615

Je ne citerais pas de nouveau le passage qu'a déjà relevé Alizé, mais j'ai trouvé ça génial ! Vraiment, c'était un plaisir de découvrir Elisabeth à travers tes mots, et c'est donc avec joie que je te valide. Bon jeu parmi nous ! expecting to fly. 456023687

Messages : 7 Date d'inscription : 17/09/2012 Crédits : n-dia.

Merci beaucoup.